Clémence « LAristocrate » La Punition ! (Partie 4)
Après lanniversaire de mariage du consul du Maroc, jétais rentrée le dimanche vers midi. Ne trouvant pas Pierre-Louis à la maison, la gouvernante me dit, quelle ne lavait pas vu ce matin mais quil devait arriver dune minute à lautre. La table était dressée, le repas préparé :
Je men vais Madame, vous navez plus quà servir.
Bien Martine ! Allez-y ! À demain.
En effet, mon mari revenait lorsque la voiture de la gouvernante quittait la propriété. Pendant le repas, je ne pus mempêcher de lui demander où il avait passé la nuit, je savais que jétais cocue mais le week-end de plaisir, mavait donné des ailes, je me sentais libérée :
Quest-ce que ça peut te foutre. Me dit-il assez méchamment. Si tu veux le savoir, jétais avec Marie ma petite secrétaire, une salope, avec des gros seins et des belles fesses bien rebondies, je lai baisée comme un fou, son petit copain travaillait, elle était en manque. Et toi, jespère que tu tes bien tenue ?
Je me suis ennuyée à mourir, à part Isabelle, je ne connaissais personne. Tu parles dune soirée.
Jétais furieuse, il osait me dire ouvertement quil me trompait, il me dégoutait mais jen avais peur, jespérais quune chose, cest quil napprenne jamais ce que javais fait. Laprès-midi, nous étions allés dans ses locaux et memmena dans son bureau. Il devait sabsenter toute la journée du lendemain, je ne savais pas pourquoi, il me demandait cela, mais il voulait que jaille travailler ici, le lundi afin de faire le tri de tous les dossiers quil me montra. Jen avais au moins pour toute la journée, il y avait un tel foutoir que je me demandais à quoi servait les secrétaires :
Cette garce de Sophie est jalouse. Elle sest mise en maladie.
Je comprenais que celle-ci devait être aussi une de ses maitresses, il ne me le cacha pas lorsque je lui avais demandé. Il avait vraiment envie de mhumilier une nouvelle fois, il mexpliquait comment il les baisait dans les moindres détails.
Un de ces soirs, je te réserve une surprise, je ty emmènerai.
Nous étions rentrés, sans pratiquement nous parler, il sinstalla devant la télé jusquau diner puis mavais sodomisé comme à son habitude avant de sendormir. Le lundi matin, le chauffeur mavait déposé au bureau, je devais lappeler lorsque javais fini de tout ranger. Jétais arrivée bien avant Marie, javais fouillé son bureau et dans le répertoire de son téléphone fixe, le portable de mon mari sy trouvait mais je fus surprise de trouver celui de Boris dans les numéros les plus appelés.
Dautre part, dans le journal des appels, je remarquais que Marie avait joins le numéro de portable de Boris le samedi après-midi. Le connaissait-elle ? Obligatoirement. Baisait-elle avec lui ? Je nen savais rien. Mais pourquoi lavait-elle appelé ? Marie serait-elle une salope ? Sans aucun doute. Était-elle la petite amie de Boris dont Pierre-Louis avait parlé ? Probablement car il travaillait bien cette nuit-là.
Désormais, mes oreilles étaient à laffut de tout, je surveillais les moindres gestes et tous les appels téléphoniques de la secrétaire. Je passai ma matinée à cela sans pouvoir faire mon travail convenablement. Néanmoins, je ne métais pas trompée, vers dix heures trente du matin, Boris appela au bureau, le numéro de téléphone que je connaissais par cur, saffichait à lécran sur mon poste. Quelle surprise, lorsque Marie décrocha, il était resté plusieurs minutes en communication avec la secrétaire avant de raccrocher. Sétaient-ils donnés rendez-vous ? Certainement, je devais surveiller afin de les surprendre.
À lheure du déjeuner, je quittai le bureau pour aller déjeuner, quand soudain, japerçus Boris dans la camionnette du traiteur, sur le parking. Il attendait dans son véhicule que je méloigne avant de descendre. Je fis donc une cinquantaine de mètres puis je revins sur mes pas.
Boris avait dans la main un sextoy rouge, une succession de boules en plastique, soudées entre elles, allant de la plus petite à la plus grosse. Il fit se pencher Marie en avant, lui descendit son string noir, cracha de la salive dans la raie de ses fesses en caressant sa petite rondelle sombre puis il lui fit sucer le bout de lengin, avant de lui enfoncer dans lanus. Boule par boule, ce petit pieu en plastique senfilait à lintérieur du corps de la secrétaire, sous la pression quexerçait la main de Boris. Il ne restait que la dernière, encore un peu plus grosse, il poussa à fond le sextoy qui disparut entièrement laissant uniquement la ventouse, sous un petit cri aigu de bonheur de la part de Marie.
Il ordonna à la secrétaire de se coucher sur le bureau, il releva sa petite jupe et la retroussa sur son dos, elle avait lengin tout entier dans le cul quelle lui tendait avec fierté. Il baissa son pantalon, Marie neut pas le besoin de lui faire une fellation, cela avait dû lexciter suffisamment car sa queue était bien dure et raide lorsquil lui pénétra dans son vagin entièrement épilé. Elle avait un piercing, en définitive deux, un petit anneau bleu sur chacune de ses grandes lèvres. Boris la labourait sans ménagement, pour ne pas crier son plaisir, je la voyais se mordre les lèvres de sa bouche, en serrant les poings sur le bureau où elle était affalée.
Il se retira, je vis quil ne portait pas de préservatif, puis pris la ventouse et retira le grand plug de son rectum dans un bruit de succion et le jeta sur le sol.
Ils reprirent leurs esprits, senlacèrent et sembrassèrent. Leur baiser séternisait, javais faim mais cette folie sexuelle mavait énormément excitée, javais très apprécié dêtre voyeuse, ma petite culotte trempée, je continuais à regarder et en écoutant ce quils se disaient :
Je suis à toi Boris mais tu me trompes, je suis certaine que tu as baisé la femme du patron. Dis-moi la vérité.
Je ne te trompe pas ma chérie, oui je lai sauté mais comme toi avec son mari, ce nétait que sexuel, je voulais son cul.
Oui ! mais moi cétait pour avoir un boulot, toi ce nest que pour ton plaisir.
Ferme-là Marie, ce nest quune mal baisée cette gonzesse, son mari me lavait dit avant de partir samedi.
Quel salopard ! Moi qui moffrais entièrement à ce garçon, il venait de me prouver que je me trompais sur son compte, jétais dans un état dénervement total, jétais jalouse et déçue mais dun autre côté, je voulais tant quil me refasse lamour que je saurais bien lui pardonner. La conversation prit une tournure inattendue, Marie venait de dire à Boris quelle ne voulait pas me faire de peine, elle maimait et quelle désirait même me faire des câlins. Oui ! il mavait bien semblé que Marie aimait les femmes et quelques fois son regard posé sur moi me déstabilisait, comme si elle voulait me déshabiller sur place. Je comprenais mieux maintenant. Cette belle et plantureuse jeune femme en pinçait pour moi et voulait coucher avec moi.
Ils se quittèrent, lheure était passée et jétais censée revenir bientôt au bureau mais comment allais-je faire maintenant ? Je sortis du bureau pendant quils sembrassaient de nouveau, je descendis trois à trois les marches de lescalier et je courus jusquà la rue.
Oui Monsieur de M
Boris me la confirmé. Il me fait dire que tout est arrangé pour la semaine prochaine.
Pourquoi disait-elle ça ? Avait-elle dit que je le trompais ? Marie serait-elle encore plus tordue que son copain ? Pierre-Louis était-il maintenant au courant de mon adultère ? Ceut été catastrophique. Javais passé une bonne heure à inventer une histoire pendant que je classais les dossiers, afin de trouver une explication à mon adultère avec Boris. Mais aucune excuse ne pouvait justifier mon geste. Je devrais donc assumer et dire ce qui cétait passé exactement. Jen voulais beaucoup à Marie que jestimais depuis quelle était embauchée, quelle soit la maitresse de mon mari ne me gênais pas, mais la petite amie de Boris et lespionne du patron, je ne pouvais pas laccepter et jenvisageais davoir la certitude.
Étant toutes les deux dans les locaux, jappelai Marie à me rejoindre. Cette blonde aux yeux bleus de 25 ans, d1,65 m pour 55 Kg, était ravissante en minijupe, dévoilant ses cuisses fuselées et joliment galbées, elle portait un charmant petit chemisier décolleté, sur une poitrine 95 C quelle avait du mal à dissimuler. Je la fis sinstaller dans le fauteuil face moi en lui demandant franchement.
Marie, as-tu couché avec mon mari ?
Oui ! Clémence, je vous jure que je ny suis pour rien. Cest Boris qui mobligea à coucher avec lui. Ça fait deux ans que je dépends financièrement de lui et il connait bien le patron, je devais baiser avec lui pour quil membauche.
Tu mas, quand même lair, de prendre du plaisir, il me la dit.
Non ! je simule, je nen prends pas, ils mobligent à le faire. Ce sont tous les deux des salauds. Je dois vous avouer autre chose, votre rencontre avec Boris, tout était préparé par votre mari, son absence e à cette soirée du consul et ce qui avait suivi.
Marie navait pas voulu être provocatrice, mais en écartant légèrement les cuisses, je vis sa petite culotte. Sachant quelle voulait me faire des câlins, la situation mexcitait de nouveau, se sentir désirée métait toujours indispensable, le fait que je plaise à une femme, ne létait pas moins. Depuis lavant-veille avec Farah, je pensais le faire, de tenter lexpérience au moins une fois. Serait-ce avec Marie ? Je croisais son regard et je pouvais y lire une envie charnelle. Marie lavait sans doute deviné, elle ajouta :
Je peux vous dire que je vous apprécie beaucoup Clémence, en tant que femme, je vous trouve très jolie et très désirable. Vous savez certainement que je suis bi. Nest-ce pas ? Je ne veux pas vous trahir, je vous dirai tout.
Je ne le savais pas mais je me doutais bien de ton penchant lesbien. Bon, je te fais confiance.
Je devais partir, la conversation sétait arrêtée là mais mon envie dessayer avec une femme me trottait dans la tête et si cétait à faire, ce serait avec Marie, elle me plaisait beaucoup, elle ne méritait pas non plus dêtre considérée comme elle était, auprès de Boris et de Pierre-Louis. Je savais désormais quelle ny était pour rien que cétait les deux hommes qui avaient tout manigancé.
Lépisode avec Marie, même sil mavait excité, était déjà oublié. Jappréhendais la venue de Pierre-Louis. Comment allait-il réagir à mon adultère ? Je me préparais au pire, une crise comme il lui était déjà arrivé de faire. Ce soir-là, il était rentré bien plus tard que dhabitude, la gouvernante étant déjà partie se coucher, elle avait laissé dans la cuisine le repas que je navais plus quà réchauffé. Je neus pas à le faire, lorsque mon mari était rentré, il se dirigea immédiatement à la salle de bain après mavoir dit simplement un « bonsoir chérie ».
Après sa douche, il était revenu au salon où je me trouvais. Quelques minutes plus tard ne portant sur lui dun teeshirt de nuit et son bas de jogging. De but en blanc, il vint en face de moi, me gifla une première fois, je mis un genou à terre en me tenant la joue et me dit :
Je sais que tu tes fait niquer samedi par le jeune traiteur
Sans le laisser finir sa phrase, je me relevai en ayant peur de sa réaction, jessayai de répondre :
Chéri laisse-moi texpliquer...
Il me remit une gifle, que je ne pus esquiver, ma joue était devenue écarlate. Il recommença, je le suppliais darrêter. Il mobligea à me dévêtir :
Mets-toi à poil et à quatre pattes. Cest un ordre et tu as plutôt intérêt à mécouter.
Je navais sur moi quun ensemble de nuit en satin rouge et noir, trois pièces, une mini robe de chambre, un mini short échancré satiné, assorti et un tout petit débardeur noir en dentelle à fines bretelle. Je me dévêtis sans discuter afin de ne pas reprendre des coups. Une fois nue, il me tira par les cheveux et me força à me mettre à genoux. De son autre main, il me mit une autre gifle qui cingla mon sein droit. Je me retrouvais à genoux face à lui, je levai les yeux pour voir ceux de Pierre-Louis qui avait pris son air sévère.
En face de moi se trouvait son sexe déjà en érection. Il mordonna de lui faire une fellation, dune main sur larrière de mon crâne, il senfonça au plus profond de ma gorge. Je métouffais. Puis il me força de poser ma tête au sol afin que ma croupe remonte le plus haut possible. Voyant que je ne désirais pas accepter, sa main écrasa ma joue au sol, ça me faisait mal. Il prit mon cou de ses deux mains et métrangla de longues secondes. Il mordonna dobéir, je clignais des yeux en montrant mon acquiescement, je fis comme il me disait. Il passa derrière moi, puis me pénétra avec force, de toute sa puissance, il sactiva, excité par cette violence, il jouit rapidement dans mes reins.
Je meffondrai en pleurs, tandis quil partait, soulagé, dans la salle de bains. Une dizaine de minutes sétait écoulée, jétais toujours au sol, javais fini de pleuré, javais mal. Il vint vers moi, me prit la main pour me relever et me mis un coup de poing sur lépaule :
Ne tavise plus à recommencer ce que tu as fait, cette histoire est loin dêtre terminée.
La suite de lhistoire dès mardi prochain, vous avez à votre disposition, la liste des précédents récits en bas de page.
Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Clémence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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